Nous avions vu le roc le week-end précédent, il était sec. Donc nous partons en pensant le trouver relativement sec. C’était sans compter sur la neige tombée la veille, qui a tout blanchi depuis les chalets du Sollier. Du coup, nous avons pas mal pataugé dedans. Après quelques lacets sur le sentier en essayant de deviner son cheminement, nous avons abandonné pour suivre la piste laissée par un certain nombre de prédécesseurs : droit dans la pente. Nous retrouvons le sentier peu avant l’étranglement sommital. L’arête est ensuite praticable malgré quelques patches de neige.
Les photos sont là.